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Asteroides et autres objets
30 janvier 2019

Histoire des Méteorites

Dans l 'antiquité, les comètes etaient considérés comme divine.

Certains savants pensaient que les météorites ne venaient pas du ciel, mais qu'elles étaient "crachées" par des volcans ou qu'elles n'étaient que de la roche touchée par la foudre.

En 1803, les autorités scientifiques refusent d’admettre la réalité des météorites et d’écouter les témoignages s’y rapportant, avant qu’un physicien allemand se risque à remettre la croyance en question, et qu’une pluie de fragments d’une grosse météorite, près de L’Aigle, dans l’Orne, vienne lui donner raison.

Pendant longtemps, les météorites furent considérées comme des pierres magiques. Elles faisaient l’objet d’un culte, en particulier en Orient. En 219, Héliogabale, jeune prêtre du Soleil de la ville d’Emèse (aujourd’hui Homs), apporta même une météorite de Syrie jusqu’à Rome après son élection à la dignité d’empereur des Romains.

Jusqu’à la Renaissance, on attribua aux chutes de météorites un pouvoir oraculaire, comme dans le cas de la météorite d’Ensisheim, dont la chute décida Maximilien de Habsbourg à entrer en guerre contre les Français en 1492.

Au XVIIIe siècle, il n’était pas rare que les savants, qui peinaient à identifier l’origine extraterrestre des pierres qu’on leur apportait, raillassent les paysans qui disaient avoir assisté à une chute de météorites.

La première analyse chimique d’une météorite fut effectuée par Antoine Lavoisier et deux autres chimistes en 1769. Utilisant des techniques d’analyse rudimentaires, ils conclurent qu’il s’agissait d’un grès frappé par la foudre. Il fallut attendre 1794 pour qu’un savant allemand, Ernst Florens Friedrich Chladni, défendît l’origine extraterrestre de ces pierres qu’on disait « de tonnerre » ou « de foudre ». Son petit livre de soixante-trois pages publié simultanément à Leipzig et Riga rencontra un accueil contrasté.

En 1802, le jeune chimiste anglais Edward C. Howard détecta du nickel (élément très rare sur Terre) dans quatre météorites et se rallia à l’hypothèse de Chladni. Il fallut cependant attendre la chute de milliers de pierres à L’Aigle, survenue en Basse-Normandie le 26 avril 1803, pour que l’ensemble de la communauté scientifique se convainquît de l’origine extraterrestre des pierres tombées du ciel. Ce changement d’attitude fit suite à la publication d’un rapport rédigé par Jean-Baptiste Biot intitulé Relation d’un voyage fait dans le département de l’Orne pour constater la réalité d’un météore observé à L’Aigle le 6 floréal an XI.

Dans ce rapport, Biot établit la réalité de la chute, démontra que les pierres tombées du ciel n’avaient rien à voir avec l’orage ou les volcans et légitima les témoignages des observateurs, au nombre desquels se trouvent des hommes, des femmes, des enfants, des vieillards ; ce sont des paysans simples et grossiers, qui demeurent à une grande distance les uns des autres ; des laboureurs plein de sens et de raison ; des ecclésiastiques respectables, des jeunes gens qui, ayant été militaires, sont à l’abri des illusions de la peur, en arguant que « toutes ces personnes, de professions, de mœurs, d’opinions si différentes, n’ayant que peu ou point de relations entre elles, sont tout à coup d’accord pour attester un même fait (la chute de pierres), au même jour, à la même heure, au même instant.

« (...) On n’a jamais vu, avant l’explosion du 6 floréal, de pierres météoritiques entre les mains des habitants du pays. Les collections minéralogiques, faites pour recueillir les produits du département, ne renferment rien de semblable.

« (...) Les fonderies, les usines, les mines des environs n’ont rien dans leurs produits ni dans leurs scories qui ait avec ces substances le moindre rapport. On ne voit dans le pays aucune trace de volcan.

Tout à coup, et précisément à l’époque du météore, on trouve ces pierres sur le sol et dans les mains des habitants du pays, qui les connaissent mieux qu’aucune autre (...). Ces pierres ne se rencontrent que dans une étendue déterminée, sur des terrains étrangers aux substances qu’elles renferment, dans des lieux où il serait impossible qu’en raison de leur volume elles aient échappé aux regards.

Le texte de Biot, qui se présente comme une véritable investigation scientifico-policière, établit notamment la présence de fragments sur une ellipse de 10 km de long sur 3 de large, et fera la relation entre le grand axe de l’ellipse et l’orientation de la trajectoire de chute.

La découverte de Ceres ou "(1) Ceres" en 1801, Plus gros Astéroide de la ceinture principale situé entre les orbites de Mars et de Jupiter, confirme l´existence d´objets sur une telle orbite, des observations dès 1800 déjà, permirent la découverte d'astéroïdes.

 

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28 janvier 2019

PRÉLUDE

prelude

Bonjour à tous

Pourquoi ce nouveau blog ?

J'ai réalisé en rédigeant mes articles, que vu le nombre d'Astéroïdes dont je devais parler, il y avait largement la place pour un nouveau blog.

Je pense que les articles pourront se retrouver dans plusieurs de mes blogs, ici je vais vous parler des Astéroïdes, de Type S, de Type C ... des aérocroiseurs, des géocroiseurs, des candidates planetes naines... etc. De leurs noms, leurs numéros, leurs couleurs, et de tout un tas de détails que vous n'oseriez pas imaginer.

Nous ne savons pas exactement comment la vie est apparue sur Terre, et se dire que peut être est ce un Astéroides qui est à l'origine de cette aventure. Peut être même qu'ils ont pu ailleurs ; loin là bas aussi, semer la vie...  Mais tout cela nous ne le savons pas, une chose est sûre, certes ils sont peut être à l'origine de la vie sur Terre, mais ils pourraient bien un jour, nous effacer, comme il semble qu'ils ont pu le faire (enfin l'un d'entre eux) avec les dinosaures (Bien que l'extinction des Dinosaures ne soit pas due uniquement à cette chute si grande soit elle.)

Alors devant de telles forces nous ne pouvons que nous incliner, aujourd'hui les voir venir, les étudier, eux et leurs trajectoires, en esperant ne pas manquer celui qui loin là-bas, déjà viens vers nous. Peut être le détourner ou pire, tenter de le détruire.... mais à quel prix ?

Ils se nomment APOPHIS, EROS, DUENDE ....

Alors profitons du spéctacle et rassurons nous, le prochain ne sera pas le premier, ni le dernier non plus, à nous de savoir recevoir ce que l'univers nous a offert avant que peut-être un jour, demain, dans une semaine, dans un mois, un an ; ou peut etre des millions d'années ils ne viennent à nouveau nous rendre une Petite visite, juste histoire de nous rappeler qu'ils sont là...

Bon voyage à Tous

 

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